France - Libération - Economie

Le directeur de recherche CNRS au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive de Montpellier tient une chronique écologique pour «Libération» : «l’Albatros hurleur». Aujourd’hui, les bienfaits de l’agroforesterie à Madagascar pour limiter les ravages de la déforestation.

La maison fondée par Sofiane Hadjadj et Selma Hellal, découvreuse de talents, a notamment édité Kamel Daoud.

Réédition des huit films de la saga qui suit les aventures de la justicière nippone, joueuse de cartes invétérée. Bourrés d’inventivité, ces longs métrages des années 60 nous replongent somptueusement dans les violentes guerres de clans qui ont marqué le pays.

Dans un contexte marqué par la polarisation et la désinformation, la recherche et l’enseignement supérieur demeurent des repères essentiels pour un débat public éclairé. Par Hélène Boulanger Présidente de l’Université de Lorraine.

Deux livres interrogent l’héritage de l’écrivain-polémiste gay, mort en 2005.

Le (triste) spectacle qu’offre le réel mérite d’être décrypté : au théâtre de le représenter et de le mettre en question sans prétendre apporter de solution. Par Julia Vidit, metteuse en scène.

Une coopérative propose, depuis 2021, une liaison vers la Corse et la Bretagne au moyen d’un voilier. Une solution alternative et écolo aux traversées en ferry.

La rencontre entre le futur maire démocrate socialiste de New York et le Président, vendredi 21 novembre, aurait pu tourner au pugilat. Elle s’est au contraire très bien passée.

Le film d’horreur délirant de Willard Huyck et Gloria Katz sorti en 1973, dont les tableaux surréalistes et poétiques en ont fait une œuvre culte, est réédité dans une version haute définition.

Dire qu’il y a des gens pour médire de notre président jupitérien. Alors qu’il fait don de sa personne et de sa divinité pour mieux vendre nos fleurons.

Au lendemain de la publication du plan favorable à la Russie concocté par les Etats-Unis, sans consultation de Kyiv ou de l’Union européenne, le président ukrainien a repoussé ce vendredi le projet et promet de ne pas «trahir» les intérêts de son pays.

Alors que la partie recettes du projet de loi de finances s’apprête à être rejetée par l’Assemblée, les Jeunes en marche ont convié l’économiste à un débat intitulé «taxer les riches» au quartier général de Gabriel Attal à Paris, dimanche 23 novembre.

Harold Huwart, membre du groupe centriste Liot, annonce qu’il va voter dans la nuit de vendredi à samedi en faveur du Projet de loi de Finances, alors qu’il pourrait être rejeté de façon unanime par les députés.

Washington impose à Kyiv un plan de paix favorable au Kremlin, négocié sans l’Ukraine ni l’Europe, sommée de payer 100 milliards pour la reconstruction du pays. Et donne à Volodymyr Zelensky un ultimatum absurde : accepter ces conditions d’ici jeudi prochain.

Sept femmes aujourd’hui majeures ont été entendues par la brigade de protection de la famille de la police judiciaire du Gard. L’homme, qui a été interpellé à son domicile parisien le 18 novembre, conteste les faits qui lui sont reprochés.

Les mots doux et les promesses adressés au militant engagé contre le trafic de stupéfiants, endeuillé par la perte de deux frères, ne gomment pas la douleur. Sa lutte dépasse les raccourcis menant à une nouvelle affaire de cités et de drogue à Marseille.

Diminution des livraisons d’armes, arrêt de l’aide ­financière… Trump lance un ultimatum à Zelensky, sommé d’accepter avant jeudi un plan de paix largement favorable à Moscou.

Alors que les négociations devaient théoriquement s’achever vendredi 21 novembre au sommet de Bélem au Brésil, les pays restent divisés. Au cœur de la querelle diplomatique, le projet disruptif du président Lula d’inclure dans le texte final une feuille de route sur une sortie progressive des combustibles.

Pour François Heisbourg, «l’armistice de Rethondes, dans l’Oise, de juin 1940 était presque plus respectueux des droits du vaincu» que les conditions proposées à l’Ukraine par Donald Trump.

Les journalistes basés à Paris ont finalement stoppé leur mouvement au bout de 4 jours après avoir obtenu satisfaction sur leurs effectifs. Ils considèrent néanmoins que «les chantiers restent nombreux.»