France - Libération - Economie

L’ex-ministre, aujourd’hui Haut-commissaire à l’Enfance, n’entend pas se satisfaire des contrôles des plateformes d’e-commerce épinglées pour avoir vendu ces articles pédopornographiques, dont la détention est un délit passible de sept ans de prison.

Dans l’est du pays, l’armée russe tente une nouvelle fois de s’emparer de la ville de la région de Donetsk, où les combats durent depuis plus d’un an. Selon l’état-major ukrainien, «près de 200 soldats» auraient réussi à s’y fixer.

Entre une réflexion lancée sur le danger des écrans et des réseaux sociaux et un déplacement, mardi 4 novembre à La Rochelle, le Président tente de remettre un pied dans le débat national. Son camp le prie de se tenir à distance.

Traité d’«assassin» par les proches des 229 victimes, la semaine dernière lors d’une cérémonie de funérailles nationales, Carlos Mazón a craqué, après douze mois de déni de sa responsabilité dans la tragédie. Son départ fragilise le PP, son parti de droite, qui l’a longtemps protégé.

Bousculés par les polémiques dont la dernière sur la vente en ligne de poupées sexuelles à la figure enfantine, les habitués du grand magasin parisien s’interrogent. Quelques rares vendeurs espèrent que la présence du géant asiatique va relancer l’enseigne en perte de vitesse.

La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de la journée du lundi 3 novembre.

L’ancien Premier ministre populiste Andrej Babis, dont les positions se sont durcies, a conclu ce lundi 3 novembre un contrat de coalition avec deux partis d’extrême droite, europhobes et antiécologistes. Ensemble, ils ont une majorité claire au Parlement.

Les socialistes ont échoué à faire plier le gouvernement sur la taxe Zucman, sans toutefois mettre à exécution leur menace de faire tomber l’équipe de Sébastien Lecornu.

Edgars Rinkevics a décidé ce lundi 3 novembre de renvoyer au Parlement une loi votée la semaine dernière prévoyant la sortie de la Lettonie de la Convention internationale sur la prévention des violences faites aux femmes.

Après le signalement à la justice des pratiques de l’entreprise samedi 1er novembre, une action a été organisée devant le BHV à Paris ce lundi pour réclamer une politique publique claire de lutte contre la pédocriminalité.

Le président républicain a réitéré, dimanche 2 novembre, ses menaces d’une intervention armée au Nigeria, qu’il accuse de persécuter les chrétiens. Marc-Antoine Pérouse de Montclos, chercheur en sciences politiques et spécialiste du pays d’Afrique de l’Ouest, donne quelques éléments de réponse.

Le patron du grand magasin défie les critiques en infantile mégalomane. Ce faisant, il dégrade l’image de la marque et fait fuir les enseignes, au risque de menacer l’avenir de ses salariés.

Le site d’extrême droite vient de placer l’un de ses jeunes cadres au service d’un député proche du RN, qui, ô surprise, détient aussi des parts du média.

La start-up créatrice de ChatGPT a annoncé ce lundi 3 novembre qu’AWS, filiale du géant du commerce en ligne, lui fournira des serveurs capables de répondre à ses besoins en puissance de calcul pour faire progresser son IA.

Début septembre, le gouvernement a choisi de sanctionner les 1 200 communes qui ont choisi de s’adapter aux rythmes des enfants, en supprimant le fonds de soutien au développement des activités périscolaires. Une «faute politique majeure», dénonce Yannick Trigance, secrétaire national à l’éducation au PS.

Dans un post sur Instagram lundi 3 novembre, le controversé patron du magasin parisien a jugé «indécent» la mise en vente par la plateforme Shein des poupées à caractère sexuel et de forme enfantine. Sans pour autant revenir sur l’ouverture de son corner, mercredi 5 novembre.

Dans son premier album sorti pendant l’été, l’artiste californienne déploie sa voix suave et son énergie folk. Rencontre à quelques jours de son concert à Paris.

Si les insoumis ont déjà désigné leur candidat, le PS, les Ecologistes et Génération·s, entre autres, discutent encore d’une éventuelle union face au maire sortant de droite, Jean-Luc Moudenc.

La police a mis la main sur les objets volés lors de l’interpellation de six suspects le jour de l’attaque, jeudi 30 octobre, à l’issue d’une course-poursuite. Cinq hommes et une femme sont en cours de présentation à des juges d’instruction.

Ce dispositif destiné aux foyers les plus modestes s’élève entre 48 et 277 euros. En temps normal accessible au printemps, il interviendra cette année tout au long du mois de novembre, suivant les départements.