France - Libération - Economie

La ville de Van, en Turquie, a toujours accueilli un grand nombre d’Iraniens, qui viennent se détendre et faire des emplettes. Mais la conflit entre Téhéran et Tel-Aviv a modifié le profil de ces voisins de passage.

Face aux offensives organisées par la droite et l’extrême droite, et alors que l’Etat semble baisser les bras, les moyens manquent pour aider les professionnels de la culture à faire face aux pressions.

Cette phrase que l’on entend de plus en plus dans le monde du travail dit en creux l’épuisement des dispositifs collectifs, l’absence d’alternatives et de solutions à l’écoute des besoins du salarié, pointe la sociologue Eva Blanck.

Le tribunal administratif de Nice avait donné, ce jeudi 26 juin, cinq jours au maire pour les retirer au regard de «l’aggravation du conflit» au Proche-Orient. L’édile avait pourtant affirmé que «tant qu’Israël n’aura pas gagné cette guerre, le drapeau israélien flottera sur le fronton».

Dans un entretien au «Monde», le chef du parti Renaissance tape dur sur la droite de Bruno Retailleau, son alliée théorique dans le soutien au gouvernement.

Arguments économiques, pressions et menaces diverses, motifs fallacieux… Venant essentiellement de l’échelon local, les exemples sont nombreux.

Le Guide suprême de la république islamique d’Iran, absent de la vie publique ces derniers jours, a pris la parole ce jeudi 26 juin.

Une étude a mesuré l’effet des particules fines de poussière lunaire sur les cellules de nos bronches et de nos poumons : le régolithe s’avère moins toxique que les particules d’origine terrestre et ne cause que de simples irritations physiques. Une nouvelle rassurante pour les futures missions spatiales Artemis.

Les députés du PS reprochent au Premier ministre de ne pas avoir respecté sa parole, alors qu’il s’était engagé à donner le «dernier mot» au Parlement sur la question des retraites.

Salles indisponibles, difficulté à organiser les partiels, interdiction d’accès à Internet… alors que nombre de détenus tentent de poursuivre une formation ou des études, les moyens et le soutien politique manquent, regrette Jules Brunetti, président de l’association Albin.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Gabrielle Siry-Houari s’apprête à lancer avec la militante Marie-Noëlle Bas un observatoire féministe en vue des prochaines élections.

Ce samedi 28 juin, la Marche des fiertés, défilé politique et de visibilité de la cause LGBT +, est organisée dans la capitale. Pour poursuivre ces festivités militantes, «Libé» passe en revue les meilleures propositions sans exhaustivité.

Viré en décembre 2020 par Canal + pour s’être «approprié l’antenne», selon sa direction, le journaliste sportif a obtenu l’annulation de son licenciement et pourra faire son retour dans le groupe.

La conseillère départementale des Bouches-du-Rhône et présidente du bailleur social 13 Habitat se retrouve désavouée par le département après un rapport à charge sur sa gestion de la structure et notamment à cause d’attributions frauduleuses. Son départ doit être acté ce vendredi 27 juin.

Estimant que la Chambre haute s’est comportée avec une «attitude» déplorable en s’opposant à son texte, l’exécutif lui conseille vivement de finir par adopter la réforme, faute de quoi l’Assemblée aura le dernier mot.

D’une intensité exceptionnelle, les orages qui ont balayé une partie du pays dans la nuit de mercredi à jeudi 26 juin ont fait plusieurs victimes, et de nombreux dégâts dans les régions touchées par les averses grêles et les vents violents.

Dans son réquisitoire définitif, le PNF réclamait que la ministre de la Culture soit jugée pour corruption et trafic d’influence, aux côtés de l’ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn.

Les contrôles pédagogiques «ne sont pas tous effectués» et «le niveau et la réussite scolaire des enfants restent difficiles à mesurer», estime la cour des Comptes dans un rapport publié jeudi 26 juin.

La ministre de l’Education nationale a annoncé ce jeudi 26 juin lors d’un déplacement dans un collège parisien qu’«aucun élève ne sera pénalisé s’il est empêché de passer l’examen aujourd’hui pour des problèmes de centre d’examen ou de transport».