France - Libération - Economie

La rédaction de «Libération» compile les principales infos du jour

La direction de la banque française souhaite que ses salariés ne puissent plus télétravailler qu’un seul jour par semaine contre deux jusqu’à présent. Une décision qui suscite la colère des syndicats et une première mobilisation ce vendredi 27 juin.

Furieux de l’incertitude entourant encore le bilan de l’opération de destruction du programme nucléaire iranien, le président américain et son Pentagone veulent assimiler toute remise en question par les médias à un acte de «trahison».

Esprit de carnaval en ouverture de la Cour d’honneur : la chorégraphe star cap-verdienne rêve ses nuits avignonnaises. Rencontre.

Figure charismatique de l’âge d’or hollywoodien, l’actrice new-yorkaise, à l’aise dans tous les genre, fait l’objet d’une belle rétrospective à La Rochelle Cinéma puis au Majestic Bastille.

Après dix jours d’échanges, les négociations climatiques de Bonn, en Allemagne, se sont achevées tard dans la soirée de jeudi sans avancée majeure. Ce qui laisse présager d’âpres pourparlers dans cinq mois lors de la COP30, cruciale pour l’avenir de la planète.

Après un mieux pendant les Jeux olympiques, le service de vélo en libre-service francilien connaît de nombreux dysfonctionnements à l’approche des beaux jours. Les reproches, qui se multiplient, sont confirmés par les chiffres.

Alors que les liquidations et les plans sociaux s’enchaînent, des travailleuses du secteur, souvent à temps partiel et mères solos, racontent à «Libération» les difficultés engendrées par cette rupture professionnelle.

Malgré la loi l’interdisant, la marche des fiertés devrait se tenir dans la capitale hongroise ce samedi 28 juin. Mais l’inaction de Bruxelles, pourtant censé défendre les droits fondamentaux, fragilise l’événement et ses participants.

Pop, rock, musiques électroniques… Chaque semaine, «Libé» vous aide à vous y retrouver dans l’actu des sorties.

Au sommet de l’Otan, les 24 et 25 juin, le président américain est arrivé gonflé de son prétendu «succès» en Iran : faut-il vraiment se contenter de flatter la brute comme le préconisent les praticiens du trumpisme ?

Auteur du mythique générique de «Mission : Impossible», le prolifique pianiste argentin navigua du jazz à la bossa en passant par le symphonique, créant des atmosphères nouvelles pour le cinéma et la télévision. Il est mort jeudi 26 juin à 93 ans.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a tempéré ce jeudi 26 juin au soir l’enthousiasme de Donald Trump, qui avait annoncé des tractations «la semaine prochaine».

Après avoir été le visage du 20 heures de la deuxième chaîne pendant huit ans, la journaliste y a tiré sa révérence ce jeudi 26 juin. Elle rejoindra le groupe M6.

Le poète et chanteur mêle voix envoûtante et trombones dans son nouvel album. Une musique et des textes qui se veulent sans frontières ni œillères.

Alors que les pourparlers semblent s’améliorer et que la pression monte au sein même d’Israël, le bilan des bombardements à Gaza qui dépasse désormais les 56 000 morts nous rappelle une nouvelle fois qu’il n’y a plus un instant à perdre.

Fort de ses succès revendiqués dans le conflit entre Israël et la république islamique, qu’il se targue d’avoir réussi à arrêter, le président des Etats-Unis espère désormais convaincre Benyamin Nétanyahou de mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza.

Dans la commune de l’Aisne, la population se questionne dans l’attente des résultats attendus sur l’origine des dizaines de contaminations d’enfants. Après la mort d’une jeune fille, l’hôpital s’est vite mobilisé.

Avec l’introduction fin mai d’un nouveau système d’aide bâti autour de la Gaza Humanitarian Foundation, les distributions alimentaires dans l’enclave virent au chaos. Au moins 500 personnes ont été tuées, victimes de tirs israéliens ou de bousculades en allant chercher de la nourriture.

L’université d’Aix-Marseille a accueilli en grande pompe, ce jeudi 26 juin, les universitaires américains qui cherchent à fuir les Etats-Unis et les politiques liberticides de Donald Trump. Un premier jalon pour le programme Safe Place for Science qui veut attirer ces cerveaux en France.